Mon avis sur le jeu Cloudheim : verdict après 20 heures en early access

avis jeu CloudHeim

Cloudheim sort en accès anticipé le 4 décembre 2025 sur Steam et Epic Games Store. Ce action RPG coopératif plonge dans un monde brisé par Ragnarok, où une tortue volante sert de base pour explorer des îles flottantes et réveiller des dieux oubliés. J’ai enchaîné 20 heures de jeu solo et en groupe. Les combats physiques déjantés m’ont scotché dès les premières minutes, avec des ennemis balancés comme des quilles. La coop jusqu’à quatre joueurs transforme chaque donjon en fiesta destructrice. Quelques tâches répétitives freinent le rythme, mais l’ensemble captive par son chaos joyeux et son crafting intuitif. Prix promo à 24 euros, ça vaut le coup pour les fans de Zelda en multi.

Qu’est-ce que Cloudheim ?

Le titre de Noodle Cat Games mélange action, crafting et survie dans un univers nordique éclaté. Les dieux choisissent les joueurs pour reconstruire le monde depuis l’Odin Shell, une tortue massive qui vole entre les îles. Cinq zones explorables dès le lancement, avec quêtes, donjons et boss uniques. Le contenu assure des dizaines d’heures, et une roadmap prévoit neuf à douze mois d’accès anticipé pour ajouter îles, armes et polish.

L’univers post-Ragnarok

Îles verdoyantes, pics glacés et déserts solaires composent ce royaume fragmenté. Corruption ronge les terres, créatures comme les Blins aident au quotidien tandis que des Gnasher avalent tout. L’histoire suit l’éveil de divinités anciennes via tombes et puzzles. Pas de scénario épique pour l’instant, mais des dialogues légers et un ton fantaisiste collent à l’ambiance.

Le gameplay décortiqué

Le cœur bat autour d’un loop exploration-combat-crafting. On saute sur l’Odin Shell pour grinder ressources, forger armes et plonger dans les donjons. Solo viable, mais la vraie magie opère en coop où les combos explosent.

Combats explosifs à la physique

Les affrontements reposent sur une physique imprévisible. Lasso un ennemi pour le catapulter dans une tornade, kick un baril explosif sur un boss, ou défonce un pilier sur une horde. Dual-wield armes et sorts : épée pour le mage Runemaster, arc pour le ranger. Une fois les patterns assimilés, les juggles aériens procurent un rush addictif. La barre Mana Burn pousse à spammer abilities pour des bursts fous. Frustrant au début avec des collisions buggées, mais jubilatoire en maîtrise.

Crafting et base sur tortue volante

Crafting visuel match-3 : trois minerais font une barre, trois barres une arme. RNG sur les perks, mais upgradable via reliques. L’Odin Shell grandit avec smelter, cuisine, alchimie et jardin. Blins gèrent les tâches, on assigne jobs pour bonus. Vendre au shop remplit les poches, mais surveiller stocks évite les clients furax. Simple et tactile, ça motive à grinder.

Exploration et coop jusqu’à 4

Îles remplies de chests cachés, puzzles physiques et donjons procéduraux. Verticalité folle : grimpe partout, dash infini. Coop fluidifie : un tank aggro, l’autre lasso, le troisième explose l’env. Classes illimitées pour mixer builds. Solo, les hordes fatiguent, mais scaling adaptatif sauve la mise.

Graphismes et bande-son

Style cartoon Zelda-like, palettes vives et monde lisible. Paysages nordiques poppent avec ciels immenses et ruines lointaines. Animations fluides sur tortue et bestioles. OST épique mais discrète, effets sonores punchy renforcent les impacts. Pop-in et lags en early access, rien de rédhibitoire sur RTX 3070.

Points forts

  • Combats chaotiques hilarants, combos infinis en coop
  • Exploration rewarding avec secrets partout
  • Crafting accessible, base vivante et personnalisable
  • Monde coloré, créatures attachantes
  • Contenu dense pour 25 euros, mises à jour régulières prévues

Les aspects perfectibles

Inventaire limité force des allers-retours tedieux : tenir 300 baies pour les déposer, slots base à quatre max 30 unités. Grind World Stars pour débloquer îles via chests et boss. Physique glitche parfois, ennemis coincés ou joueur clip. Shop répétitif casse le flow. Narrative basique, dialogues perfectibles. Early access oblige, Noodle Cat écoute feedback via Discord.

Performances et configuration PC

Stable à 60 FPS en 1440p sur config recommandée. Quelques chutes en donjons bondés.

Composant Minimum Recommandé
Processeur AMD Ryzen 5 2600X / i5-8600K AMD Ryzen 7 5800X / i7-12700
RAM 16 Go 32 Go
Carte graphique GTX 1660 / RTX 3050 / RX 6600 RTX 3070 / RTX 4060 / RX 7700 XT
Stockage 30 Go 30 Go

Source Steam.

Mon verdict final sur Cloudheim

Cloudheim brille par son chaos coop et son monde enchanteur. Avec potes, on a explosé des boss en riant pendant des heures, la tortue comme QG cosy. Solo correct pour tester, mais multi sublime l’expérience. 75% positif sur Steam confirme le potentiel. Défauts typiques early access : grind et QoL à peaufiner. Si vous kiffez Valheim ou Enshrouded avec physique déjantée, foncez. Ma note : 8/10. J’attends les updates pour du 9. Wishlisté ? Téléchargez la démo avant.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *